L’ouvrage reprend l’édition originale non censurée du recueil de Baudelaire de 1857 accompagnée de ces étranges impressionsgravées de d’Agata.Présent et passé s’y superposent. Comme un jeu de transparence que présentera la trame d’une image sur la couverture. Dans cet ouvrage Fleurs du Mal, Baudelaire fait figure de flâneur, de spectateur du monde qui l’entoure, des transformations urbaines, quand d’Agata incarne la photographie, la vie et se réapproprie l’espace de la ville par le geste.